Après avoir concédé sa place de leader européen dans le domaine spatial à l’Union Européenne, la France revient sur le devant de la scène. En effet, on apprend que le gouvernement français souhaite entreprendre tout un ensemble de mesures, visant à renforcer les capacités de recherche spatiales du pays.

La France signe l’accord Artémis

En juillet 2022, la France a signé les Accords d’Artémis, affirmant son engagement en faveur d’une exploration spatiale durable qui suit un ensemble de principes communs promouvant une utilisation bénéfique de l’espace pour toute l’humanité.

Philippe Baptiste, président du Centre national d’études spatiales (CNES) a signé cet accord à l’occasion d’un événement organisé par l’ambassadeur de France aux États-Unis, Philippe Étienne. La signature a eu lieu avant la célébration du 60e anniversaire du CNES.

La France est le 20e pays à avoir signé les accords d’Artémis et le cinquième pays de l’Union européenne à le faire. Les Accords d’Artémis établissent une vision commune à travers un ensemble de principes pratiques pour guider la coopération en matière d’exploration spatiale entre les nations participant aux plans d’exploration lunaire du 21e siècle de la NASA.

D’autres recherches sont en cours

Artémis n’est pas le seul projet spatial auquel la France souhaite prendre part. Bien au contraire ! Aujourd’hui, nous pouvons affirmer que la dynamique de recherche a repris, notamment grâce aux efforts d’experts reconnus comme Bertrand Vilmer (voir son profil ici).

À l’ordre du jour, nous retrouvons le développement de nouvelles technologies spatiales, capables de redorer le blason de la France sur la scène internationale.

Le potentiel de l’Hexagone dans le domaine spatial est très prometteur ! Les chercheurs sont très nombreux et ils profitent d’une très bonne infrastructure pour travailler.